Formation printemps 2024

Après une semaine d’initiation au numérique avec des ateliers créatifs en février (qui a abouti à la réalisation d’un clip : https://www.youtube.com/watch?v=Ia6_0cLuNnQ ), huit jeunes ont été sélectionnés pour suivre la formation « Outils de création numériques » du 11 mars au 3 mai 2024. Au programme de cette formation pré-qualifiante, des modules de Musique Assistée par Ordinateur, vidéo, conception graphique, photographie, web, son live, auxquelles se sont greffées des rencontres professionnelles à l’occasion de visites de lieux culturels locaux.

Cette formation a été suivie par un groupe de 8 stagiaires, âgés de 17 ans à 25 ans. Dans une dynamique collaborative de projet, les stagiaires ont créé une chanson, « Universelle journée de merde », qui a servi de support aux différents modules. Ils ont écrit les paroles, composé la musique, enregistré, réalisé un clip, conçu des visuels et un site internet pour valoriser cette chanson. Ils ont pu aussi réinvestir les acquis dans le cadre de leurs projets personnels.

C’est à voir ici :

Clip :

Site internet : https://octopus2024.wordpress.com/

Ils témoignent :

« Cette formation m’a permis de découvrir des domaines dans lesquels je n’aurais jamais mis les pieds ! Cette formation me donne de l’espoir et des perspectives » – Oihana

« C’est la première fois que je me suis senti bien dans un groupe, dans lequel j’ai pu trouver ma place. Ces deux mois de formation et de vie de groupe m’a ouvert les yeux sur une part de moi-même » – Rémi

« L’ensemble des modules m’ont permis de découvrir toutes les possibilités de la technique. Savoir utiliser des outils numériques aussi performants sans dépendre de quelqu’un est très gratifiant » – Guillaume

« S’investir aussi intensément sur une période de deux mois permet aussi de se rassurer sur ses capacités d’apprentissage » – Martin

Pour tous les stagiaires, OPUS a été une réelle opportunité dans leurs parcours, en ouvrant des pistes de réflexion, de consolidation ou de ré-orientation de projet professionnel. Tous aussi ont mesuré leur « chance » d’avoir bénéficié de ce dispositif « gratuit » grâce notamment au co-financement par le Fonds Social Européen.