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Dans le cadre de 64/15, le festival organisé en Novembre par la ville de Mourenx et Ampli.
Ils sont un peu plus vieux que Booba… À eux deux. Si on doit parler de new school, Florian
et Olivio, 22 et 18 ans, d’origine argentine et algérienne, remplissent le cahier des charges. Ils
ne sont pas des rookies pour autant : après des dizaines de scènes, notamment les plateaux
Rap Contenders où ils ont multiplié les freestyles d’improvisation, leur EP Le Trac, sorti en
avril 2014, a révélé leur plume versatile et leur goût pour les histoires bien écrites, pas
toujours conclues par un Happy End.
Des textes qui veulent dire quelque chose et qui racontent des histoires ? Presque une
anomalie au milieu d’un hip-hop français tenté par la punchline systématique et la fascination
de l’illicite.
Le résultat de toute cette énergie déployée, de toutes ces rimes aiguisées, de tous ces beats
balancés, c’est La Cour Des Grands, un album qui porte fièrement son nom.
« On essaie de ne pas perdre la passion et l’envie, même si ça ne marche pas » lâche Oli
soudain mélancolique. Pas de danger : ces talentueux petits ont déjà tout des grands.
Sauf l’arrogance.
Les barcelonais BONGO BOTRAKO se distinguent par un world, reggae, alternatif décapant et surtout beaucoup de positivisme avec des chansons sincères et des messages humanistes qui traversent les frontières et un live d’une incroyable énergie ! L’empreinte de la rue et la chaleur de la capitale méditerranéenne transpirent dans leur univers,
simple mais sans concession, un mélange de nombreux genres musicaux pleins de couleurs et de nuances qui nous font voyager. BONGO BOTRAKO fait l’effet d’une bombe sur les scènes espagnoles et européennes. Après l’énorme succès du premier opus « Todos los dias sale el sol » (2010), et un clip déjà vu plus de 6 200 000 fois, leur second album « Revoltosa » (2012) a été primé de nombreuses fois en Espagne et remporte un succès toujours plus important à travers toute l’Europe ! BONGO BOTRAKO vous fait la promesse d’un moment hyper extasiant !
L’un se présente avec sa guitare en bandoulière, le front teinté par le soleil de l’Espagne, l’accent béarnais ancré dans les gênes, et des mélodies bouleversantes sifflées avec le sourire.
L’autre débarque en faisant grincer son fauteuil roulant, tâches d’encre sur les vêtements, casquette de gavroche vissée sur la tête, balbutiant des formules lettrées comme on fume une pipe, machinalement.
Ces deux-là semblent faits pour se comprendre.
Les Gueules de WaB sont à la fois artistes « artisans », poètes, chanteurs, œnologues pour nuits d’ivresse, partisans, défenseurs des causes perdues, et de fins analystes des sentiments humains. Ils donnent toute leur importance aux détails, croient aux rencontres , et font confiance à la vie. Leur musique est faite de ça.
Ils aiment les mots, les décortiquent, les assemblent, et recommencent jusqu’à trouver la magie qui donnera tout son sens à leur texte. Avec esprit, finesse et un recul déconcertant, ils font rire, danser, vibrer ou réfléchir. Au fil des titres, on découvre les facettes toujours plus riches d’un univers qui leur est propre.
Le groupe travaille avec des puristes toutes catégories, pour donner naissance à un style à l’opposé du purisme, métissé, varié, fait de mélanges improbables et de spontanéité. Ainsi, de la chanson française au reggae, en passant par le hip-hop, la musette et même le dubstep, leurs morceaux nous emportent un peu plus loin à chaque écoute.
Leur premier album, « Vide Grenier », dont la sortie nationale a eu lieu le 12 Mai 2014, est une réussite plus qu’inattendue pour un projet « fait-maison », et restera avant toute chose un disque qui leur ressemble.
Sur leur route, ils ont trouvé Julio Rodrigues, producteur des Zoufris Maracas, qui les accompagne dans leurs démarches. Le groupe s’offre le luxe d’assurer la première partie de leurs ainés, au Cabaret Sauvage ou autres scènes de Province. Coup de coeur de La Rue Ketanou, ils sont leurs invités au festival Emmaüs, et partagent la scène avec eux devant 12000 personnes, le temps de deux morceaux. Enchainant les concerts depuis la sortie de leur premier album, comme à la fête de l’huma où ils ont enflammé la foule, ils viennent de rejoindre l’équipe de Dionysiac Tour, et s’apprête à passer la saison 2015 sur les routes.
Sur scène, ils sont épaulés de Margaux Malya au violon, de Martin Colmand au clavier et de Landry Verdy à la guitare.
Forts de cette équipe confirmée, ils continuent de mettre en images les morceaux du premier album, et commencent à travailler en silence pour préparer le second.